Scandale à l’ hôtel du fleuve : Un vigile affecté à la sécurité des lieux fracture le bras du journaliste Michael Bakemba sans être inquiété
Trop c’est trop, dit -o n. Ailleurs que ce soit aux États-Unis ou en France, nul ne peut refuser à un journaliste de tendre son micro à une autorité.
Ils sont très complexés et ne sortent pour la plupart d’aucune école de formation en garde rapprochée. Bon nombre d’entre eux, ce sont d’anciens acolytes de certains partis politiques qui leur avaient armé des machettes pour tuer les opposants en 2011.
Au lieu de garder le bâtiment, guider un client perdu dans le parking ou autre, ils sont là à surveiller les mouvements des journalistes jusqu’à leur porter l’avis. Quelle bêtise !
Le cas le plus flagrant venait d’être vécu dans ce prestigieux établissement hôtelier où les vigiles, sont des plus insolents de la terre. Ils n’ont de considération pour personne, si ce n’est que pour des musiciens ou autres étrangers.
Où sont passés : l’ACAJ, le JED, l’UNPC et autres associations de défense des droits des journalistes ?
Ce monsieur de l’hôtel du fleuve, du reste trop zélé mérite un jugement de flagrance et doit subir la rigueur de la loi, état de droit oblige.
Ô pays , il ne nous manque que des hommes capables de donner des insomnies à cet hercule de l’hôtel du fleuve…
Patrie news