ÉTAT D’URGENCE : SI NOUS N’ÉTIONS PAS SATISFAITS NOUS N’ALLIONS PAS VOTER. SÉNATEUR GERENGO.

Après que 97 sénateurs portent leurs choix sur la prorogation de l’État d’urgence sanitaire lié au pandémie qui se vit au pays, le représentant de la province de la ville province de Kinshasa affirme que la demande du chef de l’État est louable.

Si nous n’étions pas satisfaits, nous n’allions pas voter, nous avons voté parce qu’il y a nécessité qui ait l’Etat d’urgence et tant entendu que la maladie continue à faire le ravage. Donc il faudrait que nous puissions proroger la loi… Recadre le sénateur GERENGO.

S’agissant d’une loi pouvant soutenir et faire fonctionner le pays pendant la période d’État d’urgence comme prévu dans la constitution de la République dans l’alinéa 2 de l’article 85, l’élu des élus renseigne que le pays se retrouver dans une urgence urgente et l’ordonnance du chef de reprenait quelques mesures importantes.

Dé le départ, dans l’ordonnance du chef de l’État, vous retrouvez la partie des mesures à prendre. Nous aurions voulu conformément à la loi, de voter ces modalités. Tant entendu que nous sommes dans une urgence urgente, nous considérons que ce qui se trouve dans l’ordonnance.

Par ailleurs, il se dit satisfait que l’harmonie est revenu entre la sénatrice Bijoux GOYA KITENGE et le président du sénat Alexis Tambwe Mwamba.

Étant donné que l’incident a eu lieu à la plénière passée et que le deux se sont convenus de passer l’éponge, à ce moment, l’affaire est close. A-t-il dit.

Le sénateur Valentin GERENGO a salué aussi la validation du nouveau sénateurs suppliant de Me François MUAMBA.

Narcisse Ntumba.

You May Also Like

Coopération Militaire RDC-OUGANDA : Le général Muhoozi reçu par Tshisekedi à Kinshasa, cap sur l’évaluation de l’opération Shujaa

Devant le Chef de l’État, le nouveau Procureur Général près la cour constitutionnelle, John-Prospere Moke Mayele vient de prêter serment

Crise sécuritaire à GOMA : Sam Bakasende dénonce une campagne de diabolisation doublée de lynchage médiatique contre Bahati Lukwebo

La recrudescence de l’insécurité à l’Est, le Chef de l’État reçoit les chefs de la confession religieuse catholique et protestante

1 thought on “ÉTAT D’URGENCE : SI NOUS N’ÉTIONS PAS SATISFAITS NOUS N’ALLIONS PAS VOTER. SÉNATEUR GERENGO.”

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *