En marge de la plénière de ce mercredi 8 décembre 2021, de question orale avec débat adressée au ministre de l’enseignement supérieur et universitaire Mohindo Nzangi par le député national Bernard Kayumba,au sujet de viabilité des facultés de médecine, ainsi qu’aux critères d’adhésions.
L’honorable jean Claude Draza s’est confié au micro de patrienews.net, pour éclairer la lanterne sur la quintessence de son intervention et l’accompagnement personnel qu’il accorde aux mesures prises par le ministre Mohindo Nzangi.
« la RDC a besoin des personnes qui peuvent affronter les choses, parce que le mal dans notre pays est tellement profond. Pour cette opportunité qui me sont offerte nous félicitons Le ministre,parceque Nous jugeons que c’est un jeune leader politique qui essai d’affronter les choses positivement. » a déclaré l’élu national jean Claude Draza
Il poursuit en suite dans son speech : « parceque vous êtes sans ignorer qu’après Dieu, c’est le médecin et si celui-ci n’est pas bien formé, c’est quelqu’un qui peut facilement causé la mort des patients. Le bien fondé de cette mesure de Nzangi, des réformes qu’il est entrain d’opérer qui mérite un soutien fort de notre part et notre accompagnement pour que demain nous puissions avoir des médecins de qualités et non des médecins qui vont amener la mort »
Sur la question liée aux prétendus nominations du ministre Nzangi de certains de ses proches au poste ministériel, le député national Jean Claude Draza trouve fausse ces allégations, selon lui, serait issues des laboratoires officines pour nuire au ministre.
« Je crois que le ministre doit éclairer l’opinion au sujet de ses nominations qu’il aurait faite, entant que député national, a partir de mes investigations,j’ai trouvé que ce sont des fausses informations montées dans des petits laboratoires. Vous savez que ses mesures ne vont pas faire plaisir aux gens qui ont instauré ce système. »a renchéri l’élu national
Par ailleurs, Jean Claude Draza a rappelé au ministre, le danger de la décentralisation dans l’enseignement supérieur et universitaire.
« Je veux attirer l’attention du ministre sur la décentralisation dans l’ESU, c’est n’est pas parcequ’il y’a un territoire, on doit nécessairement créer une université dans ce territoire. Le ministre a parlé de 116 facultés de médecine répertoriées et seulement 16 qui remplissent à 60% les normes, soit 15% et le reste ce sont des acteurs politiques en perte de vitesse qui se lance dans ces pratiques pour gagner un électorat universitaire » a conclu jean Claude Draza
Reagan Shindano
