Conflit parcellaire : « Je ne peux pas avoir des propos discourtois à l’égard de l’épouse du chef de l’État», S’excuse, Christelle Ngoyi Kasanji.
“Une faute avouée est à moitié pardonnée”, un proverbe français d’Andrea H. Japp.
En se fondant sur la première dame, Denise Nyakeru Tshisekedi, après avoir perdu contrôle par émotion du déguerpissement dont a fait l’objet son père Ngoy Kasanji, la députée provinciale Christelle Kasanji revient avec des mots qui expriment la compassion.
C’est au cours d’un point de presse tenue ce Mardi 18 Août, que la fille de l’ex gouverneur du Kassaï oriental, a présenté ses sincères excuses à la distinguée première dame de la République, Denise Niakeru Tshisekedi, pour avoir tenu des propos déplacés à sa haute personnalité sur les réseaux sociaux.
« Il m’est attribué d’avoir tenue des propos à l’endroit de la très distinguée première dame de mon pays. En tant que mère et enfant, j’ai beaucoup d’estime à l’endroit de ma propre mère ainsi qu’à toutes les mères du monde. Je ne peux pas avoir des propos discourtois à l’égard de l’épouse du chef de l’État. Si quelque part mes propos auraient vexés la très distinguée première dame pour qui, j’ai beaucoup d’estime et de respect, Pour preuve mon compte Facebook, je lui demande sincèrement pardon. L’éducation que j’ai reçue de mes parents, ainsi que de ma religion chrétienne ne me permet pas de tenir des propos désobligeant à l’endroit des parents. Chers parents, veillez me pardonner », s’est-elle humiliée dans une vidéo balancée dans les réseaux sociaux.
Selon plusieurs témoignages, la distinguée première dame, Denise Nyakeru Tshisekedi, étant une femme vertueuse d’un cœur généreux, trouvera certainement une place dans son cœur pour cautionner cette incidence verbale et pardonner Christelle Ngoyi Kasanji car, Saint Vincent de Paul a dit : “Pardonner une injure reçue, c’est guérir nous-mêmes la plaie de notre cœur”.
Il sied de signaler que l’élue de la province du Kassaï oriental, Christelle Ngoyi Kasanji n’est pas aux arrêts.
Exaucée Kodia
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