Coopération : La France cherche à renforcer son amitié et investir dans l’hydrocarbure en RDC

Ils sont au total huit parlementaires français qui se sont entretenus ce lundi 04 septembre avec le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde sur plusieurs questions d’ordre économique et bilatérales afin de renforcer l’amitié entre la France et la République Démocratique du Congo.

Parmi les sujets abordés par les deux parties, il s’agit notamment de l’hydrocarbure, la conservation de l’environnement, la création des richesses.

« La première des informations, c’est qu’on a renouvelé l’amitié qui lie les deux peuples, congolais et français (NDLR). C’est vrai que beaucoup au Congo considéraient que la France ne manifeste pas suffisamment son amitié, son intérêt pour la RDC. » a soutenu Bruno Fushs, Député du Haut-Rhin et délégué général de l’assemblée parlementaire francophone

Conduite auprès du premier ministre par Didier Budimbu, ministre des hydrocarbures, le chef de la délégation Bruno Fushs a salué l’intérêt qu’a porté le chef du gouvernement aux différentes sujets au cours de leur échange.

« J’ai trouvé un Premier Ministre très à l’écoute, très concentré sur les sujets importants de la Nation. (…)Nous avons vu qu’elles étaient les implications de la France, son intérêt dans la création des richesses au Congo, notamment sur des questions des hydrocarbures et de l’environnement. » a indiqué Bruno Fushs.

Après la succession d’un échec diplomatique de la France dans ses anciennes colonies de l’Afrique de l’ouest, l’hexagone tente de faire les beaux yeux au plus grand pays francophone longtemps considéré infréquentable.

Reagan Shindano 

You May Also Like

Kinshasa : un accord de 20 millions de USD pour financer les PME en RDC ( Forum Makutano)

3è journée des États généraux de la justice, le professeur Tshibangu Kalala demande la suppression du Conseil supérieur de la Magistrature et son remplacement par le Conseil supérieur de la Justice

État généraux de la justice congolaise :“La grande confusion vient de la conception que certains acteurs font de leurs pouvoirs et de leurs fonctions. Quand on a la conception floue ou d’un pouvoir absolu, la séparation du pouvoir et l’indépendance de la justice souffrent…”, Professeur Martin Mulumba

RDC : le bâtonnier Jean Fostin Kabeya convaincu que les résolutions qui découleront de ces États généraux de la justice ne souffriront pas d’application

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *