Lualaba : Ministère provincial des Mines : sa bonne gestion donne de l’insomnie à ses détracteurs. Qui en veut à la tête du ministre Jean-Marie Tshizainga ?
Décidément, en République Démocratique du Congo, quand on gère la chose publique avec un sens patriotique, Tenez bien, on ne fait qu’attirer la colère et la haine de ses détracteurs. Le cas illustratif est celui du ministre des mines de la province de Lualaba, on doit le citer Jean-Marie Tshizainga qui est sous une messe noire de ses détracteurs qui tiennent mordicus à ce que la tête de ce laborieux ministre provincial des Mines leur soit remise sur un plateau à la manière de Jean Baptiste. Disons leur fausse manœuvre a comme soubassement de séparer pour du bon, le ministre des mines avec son gouverneur et les autorités de Kinshasa qui ne cessent d’apprécier ses prestations combien rentables pour la province de Lualaba.
Le seul péché de Jean Marie Tshizainga, c’est sa bonne gestion qui ne dérange certainement pas les exigences du nouveau code minier de la RD Congo. Toutes les investigations faites, Jean-Marie Tshizainga n’est ni de loin moins même de prêt impliqué dans un contrat obscure afin de tirer des dividendes au détriment de sa province en particulier et de son pays en général. Il appert que ce dernier, veille toujours au grain pour que toutes les entreprises minières respectent à la lettre toutes les conditions prévues par le nouveau code minier.
Un homme de terrain, Jean-Marie Tshizainga avec ses hommes de troupe assure le suivi et la réalisation effective de la responsabilité sociétale des entreprises minière entre autres la prise en compte des cahiers de charges selon les exigences du nouveau code minier.
Le ministre a démystifié la manière dont traitait jadis, les creuseurs artisanaux. C’est pour cette raison que Jean-Marie Tshizainga est appelé affectueusement « le chouchou des creuseurs artisanaux ».
Un bon élève du gouvernement de Mme Fifi Masuka. C’est un ministre qui travaille pour l’intérêt de la province devenue la référence parmi les autres. Et quand l’homme extrait les mineurs dans les carrières minières, serait-il un péché ?
Le ministre provincial des Mines, Jean-Marie Tshizainga Sanama Popa, a rassuré main sur cœur, sur la mise en application bientôt, les propositions contenues dans les cahiers de charges, entre les exploitants des ressources naturelles et les communautés environnantes de chaque site minier. Il n’a pas caché sa grande satisfaction sur les négociations très avancées avec vingt entreprises minières, suffisamment motivées à s’implanter dans la province de Lualaba, avant d’inviter au calme, les autochtones de l’espace Grand-Katanga qui se disent non pris en compte dans la répartition des dividendes minières.
Pour tout prendre à travers les fausses manœuvres des détracteurs de ce laborieux ministre provincial des Mines de Lualaba, il y a de quoi à dire après toutes les analyses que c’est sa bonne gestion, sa bonne méthodologie qui lui attire la haine.
Le travail abattu par JMT laisse à désirer, bien sûr, mais la qualité de sa prestation donne satisfaction à toute personne lucide et avisée de la marche des affaires minières, malgré des querelles, disputes et écarts de langue enregistrés ci et là dans les rangs de ses détracteurs.
En soi, il travaille en conformité avec les recommandations de son secteur et n’est plus encré dans une salle combine. Accusé c’est bien mais savoir brandir des preuves, c’est une manche d’affaire que ces vendeurs d’illusion oublient dans leurs démarches bonnes pour la poubelle.
Narcisse de Saron