Ça sera du raté sur toute la ligne si, le premier ministre du gouvernement d’Union Sacrée pour la Nation ne désigne pas les personnes qui, affectueusement réclamées comme les catalyseurs du développement dans l’espace Grand Kassaï, jadis, grenier de la République Démocratique du Congo.
D’une source digne de foi en provenance de la province du Grand Kasaï, on apprend que c’est l’homme qui n’a rien donné pour le développement de cette province qui serait le cheval mieux partant pour la représentation géopolitique et équilibré au sein de ce gouvernement qui a comme la mission d’accompagner la réussite du quinquennat du Chef Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo conformément à ses promesses faites à toute la population congolaise lors de sa campagne électorale de 2018.
Rémy Musungayi, un loup qui s’annonce dans la bergerie de Sama Lukondo !
Quand on parle de Rémy Musungay Bampale comme ministre au sein du gouvernement d’union sacrée de la nation, cela énerve même le dernier fou de cette province. Il a été aux affaires, et qu’est ce qu’il fait pour promouvoir le développement ?
Cette question est sous toutes les lèvres de la population de la province et convie le premier ministre de nommer celui qui a le souci de leur province.
Les exemples de sa mauvaise gestion dont sa province n’a rien bénéficié sont légions et gravées dans la mémoire de ses sœurs et frères de la province.
Assumant la fonction de ministre de l’Industrie du premier ministre Matata Ponyo, l’homme n’a rien donné au pays par ricochet pour sa propre province. Par contre, il s’est enrichi lui seul et sa famille par la corruption et favoritisme lesquels étaient caractérisée et entâchés dans sa gestion.
Au sujet de la réhabilitation de la société BisoKa où le projet se chiffrait à 500.000 USd dont l’Etat congolais avait décaissé 4OO.OOO Usd, Rémy Musangay sur lieu, présentera un montant de 150. OOO USD. Ironie du sort, il exigea sans pitié, la rétrocommission. Si le ridicule tuait, Rémy Musungayi serait le premier à subir.
C’est pour cette raison que personne ne veut plus de sa présence au sein de ce gouvernement de l’union sacrée de la nation car ça serait pour lui l’occasion de s’enrichir illicitement à nouveau comme l’ayant fait sous l’ère Kabila en achetant un villa luxueux en Afrique du sud, des parcelles en cascade partout dans le territoire national surtout dans la capitale.
On doit rappeler qu’à cause de sa gestion folklorique en tant que ministre de l’Industrie et Petites et moyennes entreprises, trop c’est trop !Un député national de CRD, Awenze Alphonse avait déposé en son temps une motion de défiance contre Rémy Musungayi sur l’affaire de cimenterie de Kisangani. Fournissant des réponses moins convaincantes et bonnes pour la poubelle selon la préoccupation de cet élu du peuple, l’auteur de cette motion avait tout rejeté en bloc.
Pourquoi deux poids deux mesures ?
L’Inspection Générale des Finances (IGF) pourrait alors commencer son travail en auditionnant la gestion de Rémy Musangayi qui a laissé des cadavres dans le placard de ce ministère qui a fait que ces successeurs ont du mal à remonter la pente selon la nouvelle du cinquième président de la République.
D’autres cupides
Dans le lot, il y a encore les indésirables de la population du grand Kasaï notamment Lambert Mende Omalanga, Steve Mbikayi et sa femme qui se greffent dans cette course.
Cupidité politique oblige, aussitôt reçu par le premier ministre, sur les trois exigés pour un quotas d’un poste ministériel, Lambert Mende s’est imposé sur la liste sans tenir compte de ses membres.
Mêmement pour Steve Mbikayi qui part comme candidat de la province du Kassaï Oriental et sa femme comme candidate du Kasaï central. Quelle cupidité ?
Pourtant, Steve Mbikayi a été aux affaires de l’État sans rien donné. On comprendra alors que ces derniers veulent trouver refuge au sein du gouvernement d’Union Sacrée.
C’est à cause de cette posture, que les instructions ont été données au premier ministre par le Chef de l’Etat afin de former un gouvernement qui va rejoindre l’aspiration de toute la population congolaise.
On doit rajeunir la classe politique congolaise dans la gestion de la chose publique que de repêcher des vieilles figures qui n’ont rien donné pour le pays.
Prudence oblige ! Pour le premier ministre car, on a toujours dit que, qui a bu boira.
Katumbyi Lucien