Le trois propositions des lois sur la réforme de l’appareil judiciaire proposées par Aubin Minaku et Gari Sakata tous membres du Front commun pour le Congo (FCC) continu à diviser les classes politiques et tant d’autres. Censée d’ammander ces lois avant son adoption à l’assemblée nationale, la commission PAJ est maintenant disjointe.
Ce vendredi 26 juin, les députés nationaux de la plate-forme Cap pour le changement (CACH) membre de la commission politico-administratif et justice (PAJ) ont claqué la porte de ladite commission en refusant d’assister à une «messe noire» étant complice de la violation intentionnelle de la constitution.
Devant la presse, les membres de la commission PAJ de la plate-forme CACH estiment qu’ils auraient crû avec toutes les réactions de réprobation de ces loi qui a eu, devraient normalement les emmener à la raison mais hélas, les députés du FCC Membre de cette commission sont restés analyser ces projets des lois afin de les soumettre à l’assemblée nationale pour son adoption.
«Le peuple, les classes politiques et la société civile se sont exprimés y compris les syndicats des magistrats sur cette tentative de caporalisation des magistrats», renseigne les membres de la commission PAJ en faisant comprendre à tous les collègues que c’était pas urgent de procéder très rapidement à l’examen de ces lois tandis que d’autres propositions des lois sont en souffrance dans la commission.
«Nous avons trouvé louche de voir une certaine précipitation qu’a eu dans le traitement de ces propositions des lois et nous avons compris que ça cachait un autre plan tandis qu’il y a de lois qui ont fait plus d’une année que la commission n’a pas encore traité mais celles-ci n’ont fait même pas dix jours mais elles sont traitées avec urgence», ont-ils constaté avant de reconnaître la mission dans laquelle le peuple les a mandaté.
«si le peuple qui nous a mandaté est contre certaines initiatives et lois, la logique la plus simple serait de retirer ces lois mais curieusement les collègues du FCC sont restés examinés cette proposition des lois avec espoir de corriger article par article», martèle les députés du CACH.
Selon les élus du peuple, d’après leur analyse, il est impossible de pouvoir ammander ces articles a moins que les collègues du FCC puissent proposer autre chose. .
«A l’état où ça se présente (lois), nous avons jugé de nous retirer pour ne pas être complice de la violation de la constitution, la caporalisation des magistrats et apporté atteintes à l’indépendance du pouvoir judiciaire, nous avons donc décidé, de nous retirer», ont-ils conclu avant de prendre en témoins la communauté internationale et nationale.
Rapellons que des motocyclistes et autres militants pédestrement, avaient brûlé les pneus en scandant des chansons hostiles à l’endroit des députés au Palais du peuple. Ils exigaient les retraits imediats de propositions de lois de la réformes judiciaires initiées par les députés du FCC, Aubin Minaku et Garry Sakata.
Narcisse Ntumba.