En rapport avec le procès de 100 premiers jours du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, les députés membres du réseau des parlementaires africains contre la corruption APNAC-RDC en sigle, ont fait savoir à travers une déclaration ce lundi 22 juin 2020, leurs satisfaction à ce niveau de la procédure, de son aboutissement heureux en ce qui couronne les résultats de leur combat contre la corruption en République Démocratique du Congo.
Soulignant qu’il faut «châtier les corrupteurs et les corrompus», les membres de cette structure n’ont pas manquer d’encourager le Président de la République pour sa vision d’instaurer un État de droit.
Ils ont également encourager la justice congolaise de pouvoir dire que le droit et de poursuivre le traitement des dossiers pendant et en cours avec quiétude dans l’intérêt général.
Aussi bien, un accent a été accordé à la justice pour sa prise de conscience élevée, son éveil démocratique, même si, elle regorge encore des brebis galeuses.
Par ailleurs, un appel pathétique a été lancé à l’endroit de la population de s’impliquer et de s’approprier le processus de la lutte contre la corruption par la dénonciation et la surveillance des dirigeants. Ils ont en même temps exhorté la société civile a poursuivre sans ambages, la promotion des valeurs cardinales et citoyennes.
Dans le même ordre d’idée, les gouvernants (ministres, dirigeants des entreprises, hauts fonctionnaires, partenaires sociaux), sont appeler au changement radical des comportements (mentalité) dans la gestion de la chose publique.
Ainsi qu’aux parlementaires, de renforcer et d’accélérer la production législative en matière de lutte contre la corruption tout en exerçant un contrôle responsable afin de dénicher les récalcitrants et les extirper des rangs par des sanctions exemplaires.
Nzita Bodi Arnold.