« Le gouvernement Sylvestre Ilunga Ilunkamba n’a sacrifié aucun travailleur congolais rétorque la ministre d’État en charge du travail, de l’emploi et de la prévoyance sociale aux rumeurs sur la fermeture imminente des sociétés minières dans le grand Katanga «
Les travailleurs congolais n’ont cependant, qu’un seul espoir pour trouver la solution à cette question des multiples taxes. alertée, la ministre de tutelle, Néné Ilunga Nkulu se dit préoccuper et va bientôt apporter des solutions durables.
Rappelons que dans une enquête menée par le journaliste Thierry Kasongo Muyumba, il a été révélé une situation inquiétante, entre autres, les sociétés minières œuvrant dans le Grand Katanga menacent de fermer les portes de leurs sociétés d’ici la fin de ce mois.
Selon les mineurs et autres travailleurs congolais de certaines entreprises ainsi que les sociétés minières, les dirigeants des entreprises minières déplorent « la multitude des taxes pendant cette période dite de confinement dans le cadre de l’Etat d’urgence décrété par le président de la République Démocratique du Congo, Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO qui, dans l’un de ses massages avait demande l’atténuation des taxes et pressions sur les sociétés.. »
Contacté pour en savoir plus sur cette situation combien dramatique et dangereuse pour les pauvres travailleurs congolais, un directeur d’exploitation de son état dans l’une des sociétés minières du grand Katanga précise que ces sociétés sont en voie de fermer les portes pour éviter des charges issues des taxes pendant cette période dite État d’urgence.
Il a précisé qu’avant le Covid-19, les produits minièrs se vendaient à 8 milles dollars américains par tonne et aujourd’hui avec l’avènement de cette pandémie, la tonne se vend actuellement à 5 milles dollars.
Pour l’instant, les transactions, en Europe, Chine et ailleurs se passent avec une perte énorme pour les patrons miniers, a-t-il dit.
«À lui d’ajouter, les sociétés minières lors des transactions font une perte de 3.000 à 3.500 dollars américains par tonne. Quelle est la part du gouvernement Sylvestre Ilunga Ilunkamba ? N’est-ce pas, ce gouvernement accepte à déverser plus de 10.000 travailleurs dans le chômage. C’est très grave lance ce directeur d’exploitation qui demande au président de la République de traiter ce cas en toute urgence.
C’est drôle fait remarquer un travailleur, l’État congolais n’a pas atténué sur les différentes taxes à payer par les sociétés minières appelées également à s’occuper du social des travailleurs qui ont besoin de vivre dans un standard équilibré.
Avec cette situation de fait, les sociétés minières ont perdues plus de 40% de marge.
«Voilà qui justifie le déséquilibre social. Pour faire face, certaines sociétés décident dès la fin de ce mois de fermer bagages».
Un ingénieur rencontré par nos reporters dans un carré minier craint le pire. Il se demande comment les travailleurs vont survivre pendant le chômage. il exhorte le président de la République atravers le ministre de mines à sauver les meubles. Rapporte le site le GRAND CONGO.
Comment expliquer la multitude des taxes pour les miniers, pendant que la Regideso, la SNEL et mêmes les bailleurs ont été sommés de ne plus déranger les citoyens congolais.
Comme vous le savez, les sociétés sont obligés de payer plusieurs taxes notamment, la taxe import-export, la redevance, les péages mais aussi la taxe sur la transformation des produits miniers…
Les travailleurs sur différents sites minièrs invitent le ministre du secteur à trouver une solution négociée. Ils pensent qu’il y’a deux poids, deux mesures.
Comment prendre une décision pour la regideso et la SNEL ainsi que pour le loyer et faire souffrir les sociétés minières ?
Nous déploront ce matracage qui fragilise les familles et qui renvoie bientôt plus de 10000 travailleurs en chômage.. Il faut que le gouvernement protège le personnel qui vit grâce aux opérateurs minièrs.
Rédaction.