La plaidoirie en cours, la partie civile demande une peine maximale pour Kamerhe, Jammal et Muhima avec un remboursement de 47 millions USD au trésor public.
Par ailleurs, le ministère public a requis 20 ans de travaux forcés et 10 ans de déchéance de droits d’exercer une fonction publique à l’encontre directeur de cabinet du président de la République, jugé avec deux co-accusés pour des détournements de fonds alloués au programme de 100 premiers jours du chef de l’État.
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