En marge de la table ronde organisée par le ministère des Mines en collaboration avec le consortium Madini Kwa Amani na Maendeleo et le projet USAID-Pact de validation durable des sites miniers, du 24 au 26 mai 2022 à Kinshasa, qui porte sur la « restitution des recommandations issues des tables rondes provinciales » tenues à Bunia, Bukavu et Goma en 2021.
Au sortir de ces échanges avec les acteurs du secteur minier, le Directeur général adjoint en charge des questions financières et administratives de la DGDA, Mr Jean-Louis BAUNA MABOLIA a fait le point de son intervention devant les journalistes.
« La DGDA est une régie incontournable dans le domaine des Mines, nous sommes entrain de mettre un accent sur le secteur minier, afin comme l’a dit le chef de l’état que nos produits profitent aux congolais. Et à chaque fois qu’il y’a forum dans ce secteur, c’est ainsi que la DGDA est présente, nous étions à l’Ituri, au Sud-Kivu, Nord-Kivu et prochainement au Katanga pour pouvoir apporter notre pierre d’achèvement à ce secteur tant décrié mais encore moins exploiter à 100%. » a déclaré le DGA Jean-Louis BAUNA MABOLIA
Pour répondre à la question liée aux taxes que dénonce les artisanaux, le représentant de ce service de régie financière de l’état a précisé le rôle qui est assigné à son service vis-à-vis des artisanaux.
« La DGDA contrairement à ceux que les gens peuvent penser, nous ne faisons qu’appliquer la loi, le problème que rencontre les artisanaux,c’est qu’il y’a chevauchement des plusieurs services de l’état, il y’a pas que le domaine des Mines, lorsqu’il y’a chevauchement, on a l’impression que toutes les taxes que l’on payent sont le fruit de la DGDA, il y’a un tarif que les artisanaux connaissent bien et nous ne percevons que ces taxes là. » a-t-il précisé
Rappelons que ces assises va se clôturer le jeudi 26 mai avec certaines résolutions liées à structurer le secteur aurifère en RDC.
Reagan Shindano