Affaire rupture de service du Chérubin : perturbateur détourneur, imposteur jusqu’où ira Calvich Kakessa dans ACTION B ?
Pertubateur, Arrogant, voleur, Calvich kakessa maintient toujours son poste malgré plusieurs forfaits qu’il commette dans la société ACTION B, une sous-traitance qui appartient à l’honorable Roger Abatome. Et cela, malgré qu’il vient tout rescement d’être à la base d’un scénario qui a laissé perplexe, non seulement les législateurs sociaux mais aussi, les amoureux des réseaux sociaux et se posent cette question pour savoir quand est-ce que ce monsieur répondra de ses actes ?
Dans une vidéo devenue virale dans les réseaux sociaux nous montre un scénario hors du commun où un brigand entrain d’agresser un travailleur pendant les heures de service et dans le lieu du travail sans motif valable. Ce forfaitaire est bien Calvich kakessa manager de la sécurité de la société ACTION B appartenant à l’honorable Roger Abatome élu de Watsha dans la province de Haut-uele.
La personne agressée dans cette vidéo s’appelle M. Chérubin Ilunga Kambayi travailleur temporaire dans le département de la sécurité de la société pré-citée. Il a comme chef direct, Calvich Kakessa qui joue le rôle du superviseur de la sécurité de la dite société. Chérubin arrive dans cette sous-traitance avec une promesse de toucher 300 dollars américains le mois mais cet imposteur de Calvich par sa malice, il a tout un réseau de hauts gradés dans cette sous-traitance avec qui, il collabore pour exécuter ses sales besognes en soutirant la moitié de salaires de certains sous-traitants dépourvus de soutiens dans la société ACTION B. Selon certaines sources, il serait même en parfaite collaboration avec le patron de cette sous-traitance pour de raisons de partage de dividendes malsaines illégalement acquises. Alors que ACTION B est déjà une sous-traitance dans la société Kibali Mining, curieux, Calvich kakessa en complicité de certains haut gradés de cette firme, se sont transformés à une sous-traitance dans une sous-traitance : quel calvaire !
Victime d’une injustice professionnelle hors nature, Chérubin Ilunga qui voyait chaque fin du mois son salaire divisé en deux parties sans un motif valable pendant 5 mois, cherchait comment il pouvait se plaindre à l’hiérarchie car il n’avait pas d’issu. Difficile même de rencontrer le boss parce que son bourreau Calvich lui éviter cette occasion à tout prix. Mais le jour où Chérubin Ilunga rencontre le Boss et exprime ses inquiétudes et comment il travaille depuis plus 5 mois dans ACTION B dans les conditions inhumaines. Le patron de la société a pris bonne note mais sans suite : c’est le jour où il a signé sa descente aux enfers.
Son dribleur Calvich n’était pas du tout d’accord et s’est arrangé avec quelques haut gradés de la société, un réseau purement mafieux, pour faire chasser du boulot, le pauvre Chérubin Ilunga juste parce qu’il n’a pas celui qui peut défendre sa cause devant les décideurs de cette fameuse sous-traitance surtout qu’il y travaille déjà sans contrat et sans passer par induction. Sérieux la société Action B de l’honorable Roger Abatome n’est qu’une farce puérile.
Alors qu’il était sous suspension de 3 jours pour fautes lourdes, Kakessa Calvich va suspendre à son tour Chérubin Ilunga sans motif valable. Ce dernier intellectuel qu’il est, n’a pas voulu obtempérer ou encore donner un crédit à un ordre mal donné car dit-on « un ordre mal donné souffre toujours d’exécution ». Avec politesse, Chérubin a rappelé à son bourreau que « vous êtes sous suspension et vous n’avez pas le droit de me revoquer surtout que je ne sais pas le motif de la révocation et je n’ai pas reçu moins encore une notification de la compagnie y afférant ».
Se sentant démasqué par son subalterne, Calvich Kakessa va attendre jusqu’à ce que sa sanction épure pour exécuter son sal besogne et placer sur le pilori la réputation et la personnalité du pauvre Chérubin Ilunga qui se reprochait de rien jusque-là. D’où l’origine de la vidéo devenue virale dans les réseaux sociaux.
Étonnant c’est que, le superviseur de la sécurité de la société ACTION B va faire incursion dans le lieu du travail avec quelques badauds pour jeter dehors Chérubin Ilunga reconnu légalement comme travailleur temporaire ( Journalier) dans cette société qui est sous couvert de l’honorable Roger Abatome, l’élu de Watsha. Chérubin à son tour va résister aux attaques de ses badauds que l’on peut assimiler à une violence au lieu de travail et à l’infraction de coups et blessures volontaires.
Lorsque Calvich remarque que ses petits bandits n’ont pas pu le mettre dehors, lui-même va se manifester en chair et en os. Terrifié comme le diable chassé dans les royaumes de cieux, Calvich Kakessa va sans scrupules, sans retenue agresser brutalement Chérubin Ilunga qui est sensé être son inférieur. Les jambes en l’air, la tenue réduite entre le deux fesses serrées par la brutalité sans précédent de son guillotineur, Chérubin Ilunga cris à l’aide et demande aux spectateurs qui se croyaient à l’arène de gladiateurs, d’immortaliser cet événement malheureux car selon lui, c’était l’unique preuve qu’il pouvait brandir à l’hiérarchie et sauver sa peau à une rupture de service ou encore à un licenciement.
Curieux, c’est la vidéo qui va coûter le travail de ce pauvre garçon, Chérubin Ilunga, qui a dans son actif une famille à prendre quotidiennement en charge. Une lettre de rupture de service a été rédigée avant même son audition par la hiérarchie quant à ce. Chérubin Ilunga révoqué de son turbin sans préavis moins encore son salaire. Alors comment vont-ils survivre ses deux petits garçons et sa femme. Quelle tragédie ?
Cette sous-traitance, ACTION B, dépourvue d’une bonne législation sociale n’a pas tenu compte de la loi modifiant et complétant la loi N° 015-2002 portant code du travail en République Démocratique du Congo juste parce qu’elle a la justice sous son emprise et le trafic d’influence de l’honorable Abatome Roger.
En revanche, Calvich le Goète va lui, garder son poste après une légère sanction de mascarade, 15 jours où il restera inactif avant de reprendre normalement son travail. Alors que selon nos câbles, la lettre de licenciement lui a été annoncée pendant son audition mais ce dernier a promis son auditeur « Qu’il ne partira pas seul et il va tout mettre en public. Les complices et coupables vont me le payer ». C’est cette phrase qui a fait à ce que l’imposteur garde son poste dans cette sous-traitance qui ternue maintenant l’image de marque de la société KIBALI GOLD MINE qui milite contre le monneyage des postes de travail, vol et actes de vandalisme dans le lieu du travail.
En rappel, Calvich kakessa n’est pas à son premier forfait. En 2021, il a frappé son collègue de service dans la Kermesse de Durba au point de toucher le ligament suspenseur du bulbe de l’œil gauche. L’UNISEC l’a gracié après des innombrables pleurnichements. Il va être limogé dans la société UNISEC qui gère la sécurité de KIBALI GOLD MINE après un forfait qu’il avait commis en battant gravement l’une de ses camarades de service de sécurité de KIBALI GOLD MINE. Pire, elle portait dans le ventre bébé de l’agresseur. Cette fille a saigné jusqu’à ce qu’elle fait une fausse couche et elle a été hospitalisée aux urgences pendant 2 mois à Kampala pour des soins appropriés.
L’opinion se demande comment un tel récidiviste peut continuer à travailler et assumer des tâches de responsabilité dans cette sous-traitance de l’honorable Roger Abatome ? La réponse est bien claire, la sous-traitance elle-même n’est pas crédible mais elle bénéficie du gouvernement certains avantages en termes d’impôts et taxes à cause de l’influence de son patron qui a un siège à l’Assemblée Nationale qui n’y siège presque pas raison pour laquelle il a été sur la liste de députés nationaux que la plénière allait retirer les immunités parlementaires. Il faut noter que ACTION B ne respecte pas les règles qui régissent la législation sociale en RDC et profite de la faiblesse de l’État sur le chômage pour imposer des corvées aux paisible citoyens congolais enquêtes d’emploi pour la survie et les fait travailler sans contrat et sans faire leur preuve à l’induction comme dans d’autres cieux et cela, avec un salaire minable.
Katumbayi Kazadi