A l’occasion de la sortie officielle de la 10em édition du magazine « Ici & Ailleurs » qui s’est effectué le jeudi 29 septembre dernier à l’hôtel du fleuve du Congo où, le professeur et stratège en investissement, Patrick Onoya, a présenté quelques défis majeurs qu’il faut relever en vue d’attirer les investisseurs potentiels en République Démocratique du Congo.
Dans son speech devant des entrepreneurs et des investisseurs, Patrick Onoya s’est attardé sur les climats des affaires dans le contexte des défis et opportunités d’investir en République Démocratique du Congo.
Cependant, parmi ces trois défis majeurs qu’il faut relever afin d’espérer de construire un congo prospère, figure entre autres, le bien être de la nation et promotion de la jeunesse congolaise.
Dans cette même lancé, le coordonnateur national de l’association sans but lucratif Action Fatshi 2023, cette structure qui accompagne les actions du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi, a présenté ces trois défis majeurs qu’il faut relever enfin de permettre aux investisseurs de venir investir en République Démocratie du Congo. Il s’agit entre autres:
1-le défi informationnel;
2-le défi du secteur bancaire congolais et
3-le défi des investisseurs locaux.
Concernant du défi informationnel, le coordonnateur national de cette structure a affirmé qu’aussi longtemps que les investisseurs étrangers n’auront pas de bonnes informations sur la RDC en quantité et en qualité nécessaires sur le projet identifié, la République ne peut pas s’attendre à l’arrivée des investisseurs.
S’agissant au défi du secteur bancaire congolais, Patrick Onoya prouve qu’aussi longtemps que la RDC n’aura pas de secteur bancaire dynamique, elle ne peut pas, espérer à avoir des investissements massifs.
Pour le coordonnateur national de cette association qui incarne la vision du chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, « le peuple d’abord » qui avec son expertise voit le mal de loin en déclarant ce qui suit :
« Si nous améliorons pas le secteur bancaire congolais avec les instruments bancaires adéquats et bien c’est difficile. On a des banques avec une capitalisation de moins de 50 millions de dollars. Et avec cette allure, c’est compliqué ».
Le troisième et le dernier défi à relever selon ce stratège congolais en investissement, c’est le défi des investisseurs locaux. Il suggère cependant que, la classe des investisseurs locaux doit être diligemment appuyée et soutenue par les autorités du pays. Question pour lui, de faire avancer les choses significativement en terme de croissance économique à moyen terme comme le désire bien entendu le chef de l’État congolais.
Notons que,le professeur et stratège congolais, Patrick Onoya a martelé, qu’iI est important de pouvoir aller dans la bonne direction pour que les investissements tant attendus puissent se réaliser en République Démocratique du Congo.
Reagan Shindano